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Par Lujena le 17 Décembre 2008 à 10:07
Aller, ça fait toujours du bien...
Le tout --> Rubrique photos, Lyon Transbordeur 11.12.2008
Ce sont mes photos... Wouaaaouuuuu!!!
ça fait des zigouillis partout et ça étire les zygomatiques....
Manu, son sourire, une fée, un ange, une artiste à l'humanité rare, et des musiciens de talent complètement givrés........
(Ah tiens, je sais pas si vous pouvez voir les tofs sans être inscris à Myspace...)
Merci Manu.........
9 commentaires -
Par Lujena le 30 Octobre 2008 à 11:47
Hier, je l'ai été. Dépoussiérée.
Inquiétudes infondées, soirée enlacés. Musique, notes, paroles, interview. Rires. Mauvaise nouvelle à laquelle je m'attendais : Mickey 3d, c'est out. Oui mais Mick continu, et les autres aussi dans leur coin, alors ça va, le sourire n'est pas trop amer.
Et j'avais des bras, ainsi qu'une chaleur, bien réconfortants.
C'était rassurant.
Le soleil a fait cache-cache ce matin. Enfin se cache surtout, là. Mais pô grave.
Il a neigé sur les hauteurs ^^
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Par Lujena le 15 Juillet 2008 à 14:52
Ce We j'ai zappé d'emmener mon appareil photo bien-aimé pendant nos escapades. Bien mal m'en as pris.
Ou pas...
J'ai pris les photos dans ma tête du coup. J'ai réussi à leur trouver une place dans un coin, là-bas au fond, au rayon « lumière et couleurs ».
C'est un rayon assez casse-gueule, qui parfois se cache derrière le rayon "ombre", qui peut tout recouvrir, lorsqu'il est trop plein.
La tête à l'envers, regarder les nuages et leurs drôles de formes passer au dessus de la voiture.
Les cheveux qui s'envolent et que je mange en riant.
(Oui vive les cabrio).
Le soleil qui joue à cache-cache avec les branches des sapins.
L'odeur de mousse. De l'humidité des sous-bois.
Le bruit de la rivière, et celui de ses cascades sur les grosses pierres où on peut se faire dorer par le soleil.
Des maisons en pierre, aux balcons fleuris.
Des fleurs des champs de toutes les couleurs.
Le doré des blés.
Le sang des fraises des bois sucrées.
Et celui des myrtilles, aussi.
Par myriades. S'asseoir sur un parterre de mousse, en tailleur, et tendre la main pour les ramasser et s'en délecter. ENFIN un fruit que je peux manger sans risquer de m'étouffer à cause de ces foutues allergies.
Avoir la langue et les doigts rouges violacés.
En rire comme des gosses.
Et puis nos deux ombres sur le pont.
Deux.
Ce fut un Week-end parfait. Lumineux.
<o:p> </o:p><o:p></o:p> <o:p> </o:p>J'en profite, avant que l'ombre, irrémédiablement, revienne montrer le bout de son nez.
<o:p> </o:p><o:p></o:p> <o:p></o:p>Que je casserai, bien sûr.
<o:p> </o:p><o:p> </o:p><o:p></o:p>« Pirouette, cacahouète.... »
<o:p> </o:p><o:p> </o:p>
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Par Lujena le 14 Mai 2008 à 16:55
L'air est lourd. La chaleur moite et invisible s'abat comme une couverture très épaisse sur moi. Allongée dans l'herbe, ma casquette de Gavroche posée négligemment sur mes cheveux, je goûte au plaisir d'un long week-end.
Les nuages noirs s'amoncellent là-bas, à l'ouest. L'orage approche... Paradoxalement, cela m'apaise.
Un léger souffle chaud vient parfois tourner les pages de mon livre ouvert.
Pour une fois, je laisse faire. Je ne prends pas le livre pour le caler à une page précise, en le retournant. Je préfère laisser faire le vent, qui fait perdre le fil de l'histoire, puis nous laisse la reprendre.
Les pages tournent... Comme autant d'histoires qui, alors, appartiennent au passé. D'autres histoires sont là, derrière, attendent d'être lues. D'être vécues.
Ce week-end, j'ai essayé de ne pas me poser de questions. Et, à part pour une soirée, j'y suis arrivée. Le contexte musical du festival a beaucoup aidé, je pense.
Je me suis mise en "pause", un peu déconnectée du monde, oubliant même parfois quel jour on était.
Mais même. J'ai réussi à toucher du doigt la plénitude et la sérénité.
<o:p> </o:p><o:p></o:p> <o:p></o:p>Et ça, combiné à d'autres choses, ça fait du bien.
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Par Lujena le 16 Avril 2008 à 10:56
Prendre l'air.
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p><o:p></o:p>Juste marcher, au soleil, avec un vent frais poussant le corps en avant. Et avancer.
Même si c'est doucement, avancer quand même.
Un chemin d'un peu plus de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:metricconverter w:st="on" ProductID="500 mètres">500 mètres</st1:metricconverter> que j'aime rallonger en marchant doucement, en traînant, en marchant les yeux fermés.
<o:p> </o:p><o:p> </o:p>Ma pause au boulot, c'est celle-ci. Juste le trajet entre la bib et la mairie toute proche.
Trajet tout bête, mais dont j'essaye de profiter avant de revenir me terrer dans mon antre.
Les hautes collines sont brumeuses, le soleil voilé. Pas de nuages noirs se pressant à l'Ouest, contrairement à ce qui avait été annoncé.
<o:p> </o:p><o:p></o:p> <o:p></o:p>Envie de paresse, de sieste dans l'herbe au soleil.
Envie de juste sentir le vent rafraichir les paupières rougies par les rayons.
Envie de rêver, pas de travailler.
Envie de me laisser porter.
<o:p> </o:p><o:p> </o:p>Des fois, c'est bien.
<o:p> </o:p><o:p></o:p>Quand je suis à peu près calme comme ça, que la peur est retournée se tapir dans un recoin sombre avec une bonne dose de tranquillisants.
Quand je laisse les soucis dans leur boîte. Le retard au taff, les responsabilités, la famille, et le reste.
<o:p> </o:p><o:p> </o:p>Juste le soleil, le vent, la paresse et moi.
Je suis flemmarde et je l'assume complètement.
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